Adieu

duane1 a écrit:

davcom a écrit:

C'est une réalité dans beaucoup de domaines

 je ne partage pas ton point de vue meme si je le respecte.

Encore heureux que tu le respectes.

Maintenant, bravo, tu as fait ta petite intervention, motivée par on ne sait quoi.

Vas-y, développe, on t'écoute.

davcom a écrit:

duane1 a écrit:

 je ne partage pas ton point de vue meme si je le respecte.

Encore heureux que tu le respectes.

Maintenant, bravo, tu as fait ta petite intervention, motivée par on ne sait quoi.

Vas-y, développe, on t'écoute.

je trouve les arguments de duane pourtant suffisamment convainquants comme ça ....

Moi aussi, et je me respecte...

J'ai noté son nom

Audit soit qui mal y pense.

davcom a écrit:

duane1 a écrit:

 je ne partage pas ton point de vue meme si je le respecte.

Encore heureux que tu le respectes.

Maintenant, bravo, tu as fait ta petite intervention, motivée par on ne sait quoi.

Vas-y, développe, on t'écoute.

Et depuis quand il faut se justifier maintenant ?

Effectivement, il vaudrait mieux que tu n'aies pas à te justifier...

Pete Seeger, semble-t'il ?

cortez a écrit:

Pete Seeger, semble-t'il ?

Au dernier farm aid


RIP

Adieu Monsieur

Et merde...
Elle l'a eu finalement la salope...

La salope.
Il aimait pas l'alcool ce con. M'en fous, j'en déboucherai une à sa mémoire tout de même.

90 ans !

Ah merde!! Une plume libre et clairvoyante qui s'envole... 9O piges, belle vie neamoins  

La salope!
Maintenant on est tout seuls.

Philip Seymour Hoffman (overdose apparemment)

fuck

Connais pas.

Comédien américain, il a joué dans un super film avec une bande son extraordinaire "Good Morning England", il y jouait "le conte" je crois... Et aussi dans Mission Impossible.
C'est fou comme il ressemble à Matt Damon en plus gros, plus vieux et plus bouffi

il a surtout joué dans les films de Paul Thomas Anderson et il était génialissime à chaque fois (petite préférence pour Magnolia, mais il est super dans Boogie Nights, Punch Drunk Love et The Master)

et puis un oscar pour son rôle de Truman Capote dans "Capote", sparien

Ah oui Magnolia, avec Tom Cruise, je ne m'en souvenais plus. ... j'avais beaucoup aimé. Bon vent Philip, putain de saloperie de dope quand même!

Bob Casale

C'est Neil qui va être triste encore

DISPARITION DE FRANCOIS BASCHET

Dés le début des années 50, Bernard et François Baschet travaillent à la conception de nouveaux instruments, donnant vie à toute une série de sculptures sonores, d’un instrumentarium pédagogique inouïs, dans tous les sens du terme.

Dans leur atelier de Saint Michel sur Orge, les deux frères, questionnés par ce qu’ils avaient entendu dans les créations de musique concrète de Pierre Schaeffer et Pierre Henry, décidèrent de créer leur propre lutherie, leurs propres sonorités, timbres, couleurs, modes de jeu…

Etudiant, de près l’acoustique, pliant métaux et autres matériaux, se penchant sur les famille des vergophones, instruments à tiges vibrantes, ils renouvelèrent ainsi la gamme d’une lutherie aussi belle à regarder qu’à écouter. Dans ces constructions, entre sculptures et instruments, deux sortes de créations virent le jour : les sculptures sonores, tels les fameux Cristal, Tôles à voix, et les structures Baschet, de taille plus restreintes, plus mobiles, pensés comme un véritable instrumentarium pédagogique, qu’ils mirent au point associés aux musiciens Yvonne et Jacques Lasry.

De nombreux musiciens les utilisèrent dans des genres très variés, tandis que le duo continuait à développer toute une pédagogie du geste et de l’écoute. Cette pédagogie s’inscrit d’ailleurs dans une approche résolument contemporaine, l’accord de beaucoup de leurs structures ne s’appuyant pas sur des gammes musicales "classiques", mais plutôt sur la recherche de timbres, de couleurs, de résonances, de grains d’une indéniable qualité…

Ayant eu à maint reprises l’occasion de croiser les sculptures ou structures, de les mettre en vibration de la main, de coller l’oreille à aux tiges et ressorts résonnants, je eux garantir à tous ceux qui ne les ont jamais approcher que l’expérience est assez fascinante tant la gamme sonore est riche, les gestes variés, et tant les structures dialoguent naturellement les unes avec les autres.

Après l’invention du saxophone, et avant celles des lutheries électroniques, les instruments Baschet restent un jalon incontournable dans l’histoire de la lutherie.

La mort de François Baschet vient donc interrompre une collaboration fertile de deux frères qui auront donné au monde des sons de bien belles formes et couleurs sonores.

J'ai eu l'occasion de les rencontrer quand je travaillais en Labo photo pro à Évry. RIP.