Weld

Superbes chroniques!

Découvert il y a peu, pour ma part...

Et c'est la grosse claque, je me demande même si il n'est pas en train de supplanter Live Rust dans mon panthéon personnel, car il y a vraiment TOUT.
Hey Hey My My en intro, la folie pure, et le tour de force est que l'intensité ne baisse pas d'un cran sur le reste des titres... Et puis il y a ce son, qui vous donne l'impression d'être dans l'oeil du cyclone, aucun autre album ne m'avait fait cette impression auparavant.

Sur des morceaux comme cette version apocalyptique de Blowin' In The Wind ou Cortez, on se demande même si les gars ne sont pas un peu sorciers sur les bords.
Tous les titres envoient, mais je dois admettre que l'enchaînement de Cortez à Like A Hurricane en particulier est absolument imparable.
LE disque des jours d'orages

Quelques mois avant la sortie de ce disque je découvrais réellement Neil avec ses 3 premiers albums, je te dis pas la claque que ça m'a fait

Tu m'étonnes!

Le tout premier, je le connais pas encore (à part The Loner et The Old Laughing Lady)...
Pour moi, la "vraie" découverte, la vraie première claque du Neil électrique ça a été Rust Never Sleeps, puis Everybody Knows This In Nowhere.
(Et plus particulièrement la version électrique de Cowgirl In The Sand: j'avais jamais entendu cette facette là du Loner! Pour moi, Cowgirl, c'était déjà un très beau titre acoustique de 4 Way Street... Quelle surprise, donc, de l'entendre s'étirer sur 10 minutes de jam fiévreuse à la Down by The River! M'en suis toujours pas remis!)

Pour en revenir à Weld, quelques autres moments surréalistes: le solo de guitare sur F*!#in' Up (incroyable, un truc pareil!! ); la version belle à pleurer de Love & Only Love... Puis le Hurricane tout droit sorti d'un rêve.

rien que pour la version de Cortez, ce live déchire sa mère !

et avec Hurricane, c'est bien simple, je suis obligé de changer de caleçon ...