dans les bac le28 Septembre 2010: Le Noise (voilà Messieurs)

Et voilà...


J'vais attendre de me faire un avis quand même, mais pourquoi la reverb? Chier.

Bon, la prod' a donc 20 ans de retard (écoutez le Monster de R.E.M. par exemple et vous comprendrez, même si ce n'est pas le meilleur exemple dans le genre), la réverb' dégueule de partout, c'est moche, c'est vrai, le loner chante comme une pompe, c'est vrai, et sur la longueur, ce disque est, justement longuet, c'est vrai également..... Mais, car il y a un mais! Je trouve ce disque plus audacieux que les précédents. Il comporte à lui seul plus de meilleures chansons que les trois précédents disques. Et puis il ose un peu.... Franchement, ca m'aurait fait chier qu'il nous reponde un Chrome Dreams 3 ou un Fork In The Road 2... Si ses chansons avaient été produites façon Silver & Gold, je pense qu'il tenait un bon disque, mais bon, il en a décidé autrement. Bref, il y a des chances pour que ce disque passe rapidement aux oubliettes, mais, il faut quand même être suffisamment objectif pour reconnaître qu'il a un certain intérêt artistique que l'on peut ou non aimer. Ce disque n'est pas à chier (enfin, pas complètement...), mais il est à mon avis totalement inutile dans sa discographie.

Maintenant, je pense que Le Loner est au bout du rouleau artistiquement. Il a tellement produit dans sa carrière... Il a fait le tour de son art, et à mon humble avis, il devrait avoir la lucidité de plier ses gaules avant de ternir son image... Même s'il partait sur un trip acoustique, je pense que nous aurions de quoi trouver déception. Je vais acheter ce disque, comme les futurs, bon ou mauvais. Je suis collectionneur et je tiens à avoir tous ses disques, mais c'est tout de même la seule véritable motivation.

Esther a écrit:

Bon, la prod' a donc 20 ans de retard (écoutez le Monster de R.E.M. par exemple et vous comprendrez, même si ce n'est pas le meilleur exemple dans le genre), la réverb' dégueule de partout, c'est moche, c'est vrai, le loner chante comme une pompe, c'est vrai, et sur la longueur, ce disque est, justement longuet, c'est vrai également..... Mais, car il y a un mais! Je trouve ce disque plus audacieux que les précédents. Il comporte à lui seul plus de meilleures chansons que les trois précédents disques. Et puis il ose un peu.... Franchement, ca m'aurait fait chier qu'il nous reponde un Chrome Dreams 3 ou un Fork In The Road 2... Si ses chansons avaient été produites façon Silver & Gold, je pense qu'il tenait un bon disque, mais bon, il en a décidé autrement. Bref, il y a des chances pour que ce disque passe rapidement aux oubliettes, mais, il faut quand même être suffisamment objectif pour reconnaître qu'il a un certain intérêt artistique que l'on peut ou non aimer. Ce disque n'est pas à chier (enfin, pas complètement...), mais il est à mon avis totalement inutile dans sa discographie.

Maintenant, je pense que Le Loner est au bout du rouleau artistiquement. Il a tellement produit dans sa carrière... Il a fait le tour de son art, et à mon humble avis, il devrait avoir la lucidité de plier ses gaules avant de ternir son image... Même s'il partait sur un trip acoustique, je pense que nous aurions de quoi trouver déception. Je vais acheter ce disque, comme les futurs, bon ou mauvais. Je suis collectionneur et je tiens à avoir tous ses disques, mais c'est tout de même la seule véritable motivation.

Je n'aurais pas pu mieux dire

+1

Et c'est d'autant plus dommage parce qu'avec un autre traitement, on tenait 5 foutues bonnes chansons.

je suis d'accord aussi !
c'est bien d'avoir essayer autre chose que son folk rock habituel des dernières productions façon Fork in the road.
Après cette musique là (avec cette prod') ne me parle pas .

Neil, au bout du rouleau ??? je sais pas ... il va peut être encore nous surprendre (même si ça fait un paquet d'année qu'il n'a rien fait de bon objectivement - Silver & gold date de 99 !!)

Oui c'est vrai, depuis Trans y a plus eu de CO.

Rust a écrit:

Oui c'est vrai, depuis Trans y a plus eu de CO.

Quoi que, avant c'est pas non plus super...

Il n'est pas au bout du rouleau, la preuve cet album avec une prod digne de ce nom ne serait pas mauvais !

Shakey a écrit:

Rust a écrit:

Oui c'est vrai, depuis Trans y a plus eu de CO.

Quoi que, avant c'est pas non plus super...

Oui c'est vrai.
C'est quand qu'il ressort son vocoder le Neil?

Mr. Soul a écrit:

Il n'est pas au bout du rouleau, la preuve cet album avec une prod digne de ce nom ne serait pas mauvais !

Ce serait même son meilleur depuis Silver and Gold.
Bon, si ça se trouve, un jour, dans les archives, on aura des versions live à pleurer dans sa choucroute

moi je suis assez content de cette album je le trouve plutôt bon et les deux acoustiques sont pour moi deux parfaits CO
la prod' n'est pas folle mais je le trouve qu'elle a son charme
et puis esther tu le dit au bout du rouleau mais franchement des chansons comme : love and war, peacefull valley, you never call (dommage qu'elle soit absente de l'album) sont excellente voire parfaites et même dans fork in the road y avait quand même light a candle et le get around qu'il n'avait pas gravé
sinon je trouve que la seul un peu en dessous dans cet album est someone gonna rescue you que je trouvais très moyenne mais a force je trou qu'elle a son propre style et je l'aime bien

j'ai pas encore eu le temps d'écouter l'album,vous pensez que Lanoix est l'instigateur de ce son reverbe saturation ???ou c'est neil qui voulait s'aventurer dans cette voie?

Crazy Bear a écrit:

je suis d'accord aussi !
c'est bien d'avoir essayer autre chose que son folk rock habituel des dernières productions façon Fork in the road.
Après cette musique là (avec cette prod') ne me parle pas .

Neil, au bout du rouleau ??? je sais pas ... il va peut être encore nous surprendre (même si ça fait un paquet d'année qu'il n'a rien fait de bon objectivement - Silver & gold date de 99 !!)

franchement après silver and gold je trouve qu'il y a quand même deux/trois perles dans AYP, prairie wind est un bon album et je trouve greendale excellent

Je signale au passage, car ça fait deux semaines que je vois la faute, c'est Daniel LanoiS..

Mr. Soul a écrit:

Il n'est pas au bout du rouleau, la preuve cet album avec une prod digne de ce nom ne serait pas mauvais !

Si ma tante en avait.... Perso, je pense qu'au mieux, il devrait ralentir la cadence. Il n'a plus l'inspiration pour sortir un album par an.... Ceci dit, on disserte, on disserte, mais ce n'est qu'un disque. Inutile et raté, mais rien de plus. S'il ne portait pas le nom de Neil Young, et composé par un illustre inconnu, ce disque serait totalement passé inaperçu.

Esther a écrit:

Je signale au passage, car ça fait deux semaines que je vois la faute, c'est Daniel LanoiS..

enfin Neil a quand même eu son mot à dire dans l'affaire !!!!

Esther a écrit:

Je signale au passage, car ça fait deux semaines que je vois la faute, c'est Daniel LanoiS..

tu nous les brises avec lanoix!tu vas pas nous les casser!

Crazy Bear a écrit:

Esther a écrit:

Je signale au passage, car ça fait deux semaines que je vois la faute, c'est Daniel LanoiS..

enfin Neil a quand même eu son mot à dire dans l'affaire !!!!

Sur l'ortographe du nom de son producteur?

Salut oh fans of le loner

Bon pour tout vous dire j'ai pris une décision hautement importante depuis le mois d'août, je ne suis pas rétrograde, je ne suis pas nostalgique, je ne suis pas conservateur, le monde avance, le progrès progresse, mais, mais, mais trop c'est trop.

Enfin je vous explique j'ai décidé de ne plus télécharger et écouter les nouveaux disques de mes artistes préférés avant de les avoir physiquement dans les mains (les disques, pas les artistes sinon j'écoute plus rien de ma vie)

En effet je me suis rendu compte depuis quelques temps que ces téléchargements et ces écoutes avant la sortie officielle, chaque fois sur ordi, et dans des conditions défavorables à l'écoute (au boulot dans 95% des cas) faisaient qu'au moment de l'achat le plaisir, l'excitation de la découverte avaient disparu, l’adrénaline même de l’achat n’existait plus.

Dans des temps pas si lointains que cela le jour de la sortie d’un nouvel album d’un artiste que j’aime, je fonçais souvent entre midi et deux, chez le disquaire à dix minutes de mon boulot avec cette première question en tête, auront-ils mis en rayon l’album, l’auront-ils reçu, il m’est arrivé d’attendre une semaine voir plus pour pouvoir acheter un disque et ce en me rendant quasiment chaque jour dans les rayons. De ce disque je connaissais quelques informations, le titre, le visuel de la pochette, le nombre de chansons, le producteur, parfois j’avais entendu le premier single à la radio comme cela sans m’y attendre, cela m’avait donné un premier éclairage de l’ambiance générale de l’album. Quand enfin j’avais l’objet entre les mains je ne l’écoutais pas dans la voiture, ni l’après midi au boulot, souvent je déplié le livret, lisais les textes, je m’imaginais les chansons, je décryptais les crédits et seulement au soir au calme au casque je partais pour un voyage musical.

J’ai donc décidé de revenir à cette méthode, je n’ai donc rien entendu du « Le Noise » de Neil Young ni vu aucune vidéo, je ne suis pas allé rechercher dans ma discothèque l’équivalent pirate que je possède du prochain volume des Bootlegs Series officielles de Bob Dylan, je n’ai pas écouté les quatre premiers titres du prochain album de Yann Tiersen comme me le proposé un site internet la semaine dernière, je n’ai également pas essayé de télécharger les versions pirates de la prochaine réédition du Darkness de Springsteen.

Cette méthode que je réapplique pour chaque nouvelle sortie depuis août, me redonne du plaisir, je l’ai eu pour le « Tomorrow Morning » de Eels, pour la compile acoustique des Black Crowes « Croweology » et je l’aurais pour les prochains disques que je vais m’offrir. Après la qualité ou la médiocrité d’un album c’est un autre débat.

Voilà, il ne me viendrais pas à l’idée de télécharger un film et de le regarder sur mon ordi quelques semaines avant sa sortie officielle et le jour effectif de cette sortie me rendre au cinéma, payer ma place en sachant que je connais déjà l’histoire et ces rebondissements ou surprises, et bien c’est la même chose pour un disque que j’ai toujours considéré comme une ensemble et non comme une succession de chansons.

cORTEZ

Je comprends ta façon de penser. Je la partage en partie d'ailleurs. Sauf que télécharger (avec modération pour ma part) m'a permis de découvrir un tas d'artistes à côté desquels je serais inévitablement passé. Cela m'a également permis d'éviter quelques déconvenus.

Par contre, il y a des disques que je n'écoute pas avant de les acheter (le nouveau Eels, par exemple)... même si je sais que certains sont mauvais (le nouveau Eels par exemple) car j'aime bien avoir tous les disques de certains groupes que j'apprécier particulièrement.

Concernant le Neil Young, je voulais l'écouter, mais je vais l'acheter de toutes façons. Par ailleurs, les disques je ne les découvre vraiment qu'une fois en ma possession et sur du matériel qui propose une bonne qualité d'écoute, ce qui rejoint ton propos. L'excitation, je l'ai toujours, car je ne manque pas, au détour de mes balades dans les disquaires, de croiser un truc inconnu qu'on me conseille. Et même lorsque j'achète un disque que j'ai déjà écouté en boucle comme le nouveau JUNIP, je suis excité, car un disque, comme je le dis toujours, je ne l'apprécie vraiment que lorsque je l'ai acheté et écouté à fond dans ma caisse ou au casque... LE JUNIP, je l'ai survolé tant que je ne l'avais pas, mais m'y suis plongé une fois la galette acquise...

Attention je parlais uniquement des nouveaux albums d'artistes dont j'achète chaque disque, je continue également de télécharger et de découvrir de nouveaux artistes via le net et cela m'a également permis d'éviter quelques déconvenues d'ailleurs souvent avec des artistes que la presse qualifiée déjà de nouveau Dylan nouveau Springsteen et qui au final ne sont que des nouveaux produits marketing.

le net m'a d'ailleurs permis de me faire une idée avant d'acheter dans le vaste monde du jazz et merci le net pour Coltrane, Davis et Baker, il me permet également de télécharger des disques de blues que je n'ai jamais trouvé dans le commerce, certains John Mayall, Taj Mahall, Canned Heat, en attendant de les trouver physiquement.

Pour le troisième épisode de la trilogie Eels, j'avais le même sentiment qualitatif sur Tomorrow Morning mais plus je l'écoute et plus je le trouve bon, sans doute moins bon que les deux premiers volumes mais il se dévoile avec le temps lentement.

j'ai téléchargé Le Noise pour le chroniquer. WB n'envoie qu'un CD watermarqué par journal/média... Grâce au téléchargement, vous aurez deux chroniques, celle de Jean-Do et la mienne.

sweet sadness a écrit:

Salut oh fans of le loner

Bon pour tout vous dire j'ai pris une décision hautement importante depuis le mois d'août, je ne suis pas rétrograde, je ne suis pas nostalgique, je ne suis pas conservateur, le monde avance, le progrès progresse, mais, mais, mais trop c'est trop.

Enfin je vous explique j'ai décidé de ne plus télécharger et écouter les nouveaux disques de mes artistes préférés avant de les avoir physiquement dans les mains (les disques, pas les artistes sinon j'écoute plus rien de ma vie)

En effet je me suis rendu compte depuis quelques temps que ces téléchargements et ces écoutes avant la sortie officielle, chaque fois sur ordi, et dans des conditions défavorables à l'écoute (au boulot dans 95% des cas) faisaient qu'au moment de l'achat le plaisir, l'excitation de la découverte avaient disparu, l’adrénaline même de l’achat n’existait plus.

Dans des temps pas si lointains que cela le jour de la sortie d’un nouvel album d’un artiste que j’aime, je fonçais souvent entre midi et deux, chez le disquaire à dix minutes de mon boulot avec cette première question en tête, auront-ils mis en rayon l’album, l’auront-ils reçu, il m’est arrivé d’attendre une semaine voir plus pour pouvoir acheter un disque et ce en me rendant quasiment chaque jour dans les rayons. De ce disque je connaissais quelques informations, le titre, le visuel de la pochette, le nombre de chansons, le producteur, parfois j’avais entendu le premier single à la radio comme cela sans m’y attendre, cela m’avait donné un premier éclairage de l’ambiance générale de l’album. Quand enfin j’avais l’objet entre les mains je ne l’écoutais pas dans la voiture, ni l’après midi au boulot, souvent je déplié le livret, lisais les textes, je m’imaginais les chansons, je décryptais les crédits et seulement au soir au calme au casque je partais pour un voyage musical.

J’ai donc décidé de revenir à cette méthode, je n’ai donc rien entendu du « Le Noise » de Neil Young ni vu aucune vidéo, je ne suis pas allé rechercher dans ma discothèque l’équivalent pirate que je possède du prochain volume des Bootlegs Series officielles de Bob Dylan, je n’ai pas écouté les quatre premiers titres du prochain album de Yann Tiersen comme me le proposé un site internet la semaine dernière, je n’ai également pas essayé de télécharger les versions pirates de la prochaine réédition du Darkness de Springsteen.

Cette méthode que je réapplique pour chaque nouvelle sortie depuis août, me redonne du plaisir, je l’ai eu pour le « Tomorrow Morning » de Eels, pour la compile acoustique des Black Crowes « Croweology » et je l’aurais pour les prochains disques que je vais m’offrir. Après la qualité ou la médiocrité d’un album c’est un autre débat.

Voilà, il ne me viendrais pas à l’idée de télécharger un film et de le regarder sur mon ordi quelques semaines avant sa sortie officielle et le jour effectif de cette sortie me rendre au cinéma, payer ma place en sachant que je connais déjà l’histoire et ces rebondissements ou surprises, et bien c’est la même chose pour un disque que j’ai toujours considéré comme une ensemble et non comme une succession de chansons.

cORTEZ

Je t'admire, très belle initiative. Moi je suis faible, je n'ai pas la patience !

Esther a écrit:

Crazy Bear a écrit:

enfin Neil a quand même eu son mot à dire dans l'affaire !!!!

Sur l'ortographe du nom de son producteur?

non bien sûr

en lisant ton post ce matin (pas encore bien réveillé) j'ai cru que tu voulais dire que c'est Lanois qui était responsable de la prod' mititgé de l'album ....

sweet sadness a écrit:

Salut oh fans of le loner

Bon pour tout vous dire j'ai pris une décision hautement importante depuis le mois d'août, je ne suis pas rétrograde, je ne suis pas nostalgique, je ne suis pas conservateur, le monde avance, le progrès progresse, mais, mais, mais trop c'est trop.

Enfin je vous explique j'ai décidé de ne plus télécharger et écouter les nouveaux disques de mes artistes préférés avant de les avoir physiquement dans les mains (les disques, pas les artistes sinon j'écoute plus rien de ma vie)

En effet je me suis rendu compte depuis quelques temps que ces téléchargements et ces écoutes avant la sortie officielle, chaque fois sur ordi, et dans des conditions défavorables à l'écoute (au boulot dans 95% des cas) faisaient qu'au moment de l'achat le plaisir, l'excitation de la découverte avaient disparu, l’adrénaline même de l’achat n’existait plus.

Dans des temps pas si lointains que cela le jour de la sortie d’un nouvel album d’un artiste que j’aime, je fonçais souvent entre midi et deux, chez le disquaire à dix minutes de mon boulot avec cette première question en tête, auront-ils mis en rayon l’album, l’auront-ils reçu, il m’est arrivé d’attendre une semaine voir plus pour pouvoir acheter un disque et ce en me rendant quasiment chaque jour dans les rayons. De ce disque je connaissais quelques informations, le titre, le visuel de la pochette, le nombre de chansons, le producteur, parfois j’avais entendu le premier single à la radio comme cela sans m’y attendre, cela m’avait donné un premier éclairage de l’ambiance générale de l’album. Quand enfin j’avais l’objet entre les mains je ne l’écoutais pas dans la voiture, ni l’après midi au boulot, souvent je déplié le livret, lisais les textes, je m’imaginais les chansons, je décryptais les crédits et seulement au soir au calme au casque je partais pour un voyage musical.

J’ai donc décidé de revenir à cette méthode, je n’ai donc rien entendu du « Le Noise » de Neil Young ni vu aucune vidéo, je ne suis pas allé rechercher dans ma discothèque l’équivalent pirate que je possède du prochain volume des Bootlegs Series officielles de Bob Dylan, je n’ai pas écouté les quatre premiers titres du prochain album de Yann Tiersen comme me le proposé un site internet la semaine dernière, je n’ai également pas essayé de télécharger les versions pirates de la prochaine réédition du Darkness de Springsteen.

Cette méthode que je réapplique pour chaque nouvelle sortie depuis août, me redonne du plaisir, je l’ai eu pour le « Tomorrow Morning » de Eels, pour la compile acoustique des Black Crowes « Croweology » et je l’aurais pour les prochains disques que je vais m’offrir. Après la qualité ou la médiocrité d’un album c’est un autre débat.

Voilà, il ne me viendrais pas à l’idée de télécharger un film et de le regarder sur mon ordi quelques semaines avant sa sortie officielle et le jour effectif de cette sortie me rendre au cinéma, payer ma place en sachant que je connais déjà l’histoire et ces rebondissements ou surprises, et bien c’est la même chose pour un disque que j’ai toujours considéré comme une ensemble et non comme une succession de chansons.

cORTEZ

Belle démarche !!

Moi aussi j'en reviens peu à peu à acheter des disques.

Depuis mon retour en France en 2007, j'avais pris l'habitude d'écouter uniquement des mp3: les cds que j'avais étaient quasi tous rayés - alors j'avais commencé par me refaire ma disco en mp3 puis à télécharger au fur et à mesure d'autres découvertes.

Depuis qqs mois j'aime acheter les disques qui me font bien kiffé: pour le plaisir de l'objet, pour le plaisir de l'écoute dans de bonne conditions.

Par contre acheter un disque sans l'avoir écouté avant, à 15/20 euros pièce il faut être sûr de soi. Parceque payer se prix pour une galette qu'on écoutera 1 ou 2 fois, ça fait mal au c.. (enfin de mon point de vue

Crazy Bear a écrit:

sweet sadness a écrit:

Salut oh fans of le loner

Bon pour tout vous dire j'ai pris une décision hautement importante depuis le mois d'août, je ne suis pas rétrograde, je ne suis pas nostalgique, je ne suis pas conservateur, le monde avance, le progrès progresse, mais, mais, mais trop c'est trop.

Enfin je vous explique j'ai décidé de ne plus télécharger et écouter les nouveaux disques de mes artistes préférés avant de les avoir physiquement dans les mains (les disques, pas les artistes sinon j'écoute plus rien de ma vie)

En effet je me suis rendu compte depuis quelques temps que ces téléchargements et ces écoutes avant la sortie officielle, chaque fois sur ordi, et dans des conditions défavorables à l'écoute (au boulot dans 95% des cas) faisaient qu'au moment de l'achat le plaisir, l'excitation de la découverte avaient disparu, l’adrénaline même de l’achat n’existait plus.

Dans des temps pas si lointains que cela le jour de la sortie d’un nouvel album d’un artiste que j’aime, je fonçais souvent entre midi et deux, chez le disquaire à dix minutes de mon boulot avec cette première question en tête, auront-ils mis en rayon l’album, l’auront-ils reçu, il m’est arrivé d’attendre une semaine voir plus pour pouvoir acheter un disque et ce en me rendant quasiment chaque jour dans les rayons. De ce disque je connaissais quelques informations, le titre, le visuel de la pochette, le nombre de chansons, le producteur, parfois j’avais entendu le premier single à la radio comme cela sans m’y attendre, cela m’avait donné un premier éclairage de l’ambiance générale de l’album. Quand enfin j’avais l’objet entre les mains je ne l’écoutais pas dans la voiture, ni l’après midi au boulot, souvent je déplié le livret, lisais les textes, je m’imaginais les chansons, je décryptais les crédits et seulement au soir au calme au casque je partais pour un voyage musical.

J’ai donc décidé de revenir à cette méthode, je n’ai donc rien entendu du « Le Noise » de Neil Young ni vu aucune vidéo, je ne suis pas allé rechercher dans ma discothèque l’équivalent pirate que je possède du prochain volume des Bootlegs Series officielles de Bob Dylan, je n’ai pas écouté les quatre premiers titres du prochain album de Yann Tiersen comme me le proposé un site internet la semaine dernière, je n’ai également pas essayé de télécharger les versions pirates de la prochaine réédition du Darkness de Springsteen.

Cette méthode que je réapplique pour chaque nouvelle sortie depuis août, me redonne du plaisir, je l’ai eu pour le « Tomorrow Morning » de Eels, pour la compile acoustique des Black Crowes « Croweology » et je l’aurais pour les prochains disques que je vais m’offrir. Après la qualité ou la médiocrité d’un album c’est un autre débat.

Voilà, il ne me viendrais pas à l’idée de télécharger un film et de le regarder sur mon ordi quelques semaines avant sa sortie officielle et le jour effectif de cette sortie me rendre au cinéma, payer ma place en sachant que je connais déjà l’histoire et ces rebondissements ou surprises, et bien c’est la même chose pour un disque que j’ai toujours considéré comme une ensemble et non comme une succession de chansons.

cORTEZ

Belle démarche !!

Moi aussi j'en reviens peu à peu à acheter des disques.

Depuis mon retour en France en 2007, j'avais pris l'habitude d'écouter uniquement des mp3: les cds que j'avais étaient quasi tous rayés - alors j'avais commencé par me refaire ma disco en mp3 puis à télécharger au fur et à mesure d'autres découvertes.

Depuis qqs mois j'aime acheter les disques qui me font bien kiffé: pour le plaisir de l'objet, pour le plaisir de l'écoute dans de bonne conditions.

Par contre acheter un disque sans l'avoir écouté avant, à 15/20 euros pièce il faut être sûr de soi. Parceque payer se prix pour une galette qu'on écoutera 1 ou 2 fois, ça fait mal au c.. (enfin de mon point de vue

+1